Imparfait, le premier plan santé au travail dans la fonction publique doit être confronté au réel abonné

temps de lectureTemps de lecture 3 min

iconeExtrait de l’hebdo n°3816

Après deux ans de concertation avec les organisations syndicales et les représentants des employeurs publics, Amélie de Montchalin, la ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, a lancé, le 14 mars, le premier plan santé au travail. C’est un premier pas vers la construction d’une culture de la prévention partagée dans les trois versants de la fonction publique.

Par Guillaume Lefèvre— Publié le 22/03/2022 à 13h00 et mis à jour le 06/09/2023 à 13h22

Amélie de Montchalin, la ministre de la Fonction publique, lors de la conférence des métiers de l’accompagnement du social et du médico-social, à Paris le 18 février dernier.
Amélie de Montchalin, la ministre de la Fonction publique, lors de la conférence des métiers de l’accompagnement du social et du médico-social, à Paris le 18 février dernier.© Quentin Veuillet/Pool/RÉA

Le verre à moitié plein. C’est l’analyse de la CFDT-Fonctions publiques en ce qui concerne ce premier plan santé au travail ; celui-ci couvre la période 2022-2025 et son principal objectif consiste à réduire les risques professionnels. Comment ? en développant le dialogue social et la culture de prévention, en améliorant la qualité de vie, en prévenant la désinsertion professionnelle et en améliorant le système de prévention. Ces axes, clairement énoncés dans le plan,…

Pour continuer de lire cet article, vous devez être abonné.

s'abonner

Déjà abonné ? Connectez-vous