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Extrait de l’hebdo n°3929
Militante des droits des travailleurs et des droits de l’homme, Sharifeh Mohammadi a été condamnée à mort le 4 juillet par le régime dictatorial en place. Elle est accusée d’avoir participé à la création d’organisations indépendantes il y a une dizaine d’années.
Dans un communiqué commun publié le 12 juillet, la CFDT, la CGT, la FSU, Solidaires et l’Unsa demandent sa libération immédiate. Les cinq organisations syndicales françaises dénoncent également les actes de torture et les violences psychologiques que cette mère de 45 ans…