L’huître, un cobaye idéal abonné

À Plouzané et Argenton (Finistère), l’huître creuse est étudiée sous tous ses aspects par les chercheurs  de l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer).
À Plouzané et Argenton (Finistère), l’huître creuse est étudiée sous tous ses aspects par les chercheurs de l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer).© Cyril Badet

iconeExtrait du magazine n°476

Par Guillaume Lefèvre— Publié le 01/10/2021 à 08h00 et mis à jour le 01/10/2022 à 02h46

À Plouzané et Argenton (Finistère), l’huître creuse est étudiée sous tous ses aspects par les chercheurs  de l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer) – un établissement public à caractère industriel et commercial (Epic), qui compte vingt-cinq sites répartis sur l’ensemble du territoire national. 

Dans leurs laboratoires, ils tentent d’anticiper l’impact de l’activité humaine sur l’écosystème marin  et sur le développement de ce mollusque prisé des amateurs de fruits de mer.  Hausse de l’acidité des eaux avec les effets du réchauffement climatique, accumulation des microfibres  de textile ou des…

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