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Voilà des années que les sages-femmes et maïeuticiens (hommes qui pratiquent la profession de sage-femme) développent de nouvelles compétences qui renforcent leur place et leur rôle dans le système de santé… sans rien obtenir en retour. En 2016, en plus de leurs missions traditionnelles, ces professionnels de santé ont, par exemple, été autorisés à prescrire des interruptions volontaires de grossesse (IVG) médicamenteuses ou effectuer des vaccinations ou délivrer des substituts nicotiniques à l’entourage de la femme enceinte. Depuis cette année, dans le cadre d’une expérimentation, ils ont désormais la possibilité de réaliser une IVG chirurgicale, jusqu’à dix semaines d’aménorrhée.
« Les sages-femmes…