Vivarte, la fin sans éclats d’un empire abonné

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iconeExtrait de l’hebdo n°3785

Le groupe a annoncé le 28 juin dernier être entré “en négociations exclusives” avec deux repreneurs pour céder les chaussures Minelli, la dernière marque qui lui appartenait. À l’issue de cette vente, Vivarte disparaîtra.

Par Fabrice Dedieu— Publié le 02/07/2021 à 09h43 et mis à jour le 02/07/2022 à 02h40

À son apogée, Vivarte (anciennement Groupe André) a compté jusqu’à 22 000 salariés et une vingtaine d’enseignes…
À son apogée, Vivarte (anciennement Groupe André) a compté jusqu’à 22 000 salariés et une vingtaine d’enseignes…© Syndheb

Vivarte est « l’un des leaders du textile et de la chaussure en France », annonce encore le site internet du groupe. Pourtant, d’ici à quelques mois, de cette grande entreprise du commerce qu’elle a pu être il ne restera qu’une coquille vide. Le 28 juin, le groupe a annoncé la cession de Minelli (700 salariés et 260 magasins), qui devrait être reprise par les deux dirigeants qui ont déjà mis la main…

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