La rude conquête du dialogue social dans l’agroalimentaire abonné

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iconeExtrait de l’hebdo n°3814

Le Salon international de l’agriculture a été l’occasion pour les équipes CFDT d’échanger avec Laurent Berger le 2 mars sur la difficulté à faire vivre un dialogue social digne de ce nom dans certaines entreprises du secteur.

Par Nicolas Ballot— Publié le 08/03/2022 à 13h00

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© Syndheb

Il ne faut pas se fier à l’avenante vache orange et blanche, mascotte de la CFDT-Agri-Agro, qui accueillait les visiteurs sur le stand de la fédération lors du Salon de l’agriculture : la situation sociale dans certaines entreprises de l’agroalimentaire est loin de prêter à sourire. Ainsi, chez Bonduelle Frais France Saint-Mihiel à Maizey (Meuse), la CFDT a dû mener une grève de douze jours pour que la direction accepte enfin de négocier ; résultat : une prime transport de 5 euros et 90 euros en prime Pepa (prime exceptionnelle de pouvoir d’achat). Une situation d’autant plus inacceptable que l’usine a tourné a tourné…

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