Réparer les vivants, préparer l’avenir abonné

iconeExtrait du magazine n°471

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Santé mentale : réparer les vivants

Un an après l’apparition du virus, les Français voient leur moral plonger. Toutes les catégories de la population sont exposées à un degré plus ou moins important. Un nouvel enjeu de solidarité.

Par Marie-Nadine Eltchaninoff— Publié le 05/03/2021 à 09h00 et mis à jour le 02/06/2022 à 09h58

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La peur de la contamination, le poids des règles sanitaires ou la crainte de la précarité économique sont autant d’ingrédients d’un cocktail explosif. « Les états anxieux et dépressifs se maintiennent à un niveau élevé », indiquait à la fin janvier le ministère de la Santé, qui suit depuis le début de l’épidémie l’évolution de la santé mentale des Français, dans le cadre de l’étude CoviPrev. Si personne n’est à l’abri, certaines catégories de la population sont plus vulnérables.

Selon une étude sur le risque suicidaire, menée par la Fondation Jean Jaurès en octobre dernier, 20 % des personnes…

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